Son interview dans La Lettre Confédérale commence ainsi…
« Nous nous sommes portés partie civile pour plusieurs motifs. Il s’agissait d’être aux côtés des salariés qui ont souffert au quotidien. Aux côtés, aussi, de nos représentants syndicaux, pour les protéger et les soutenir, car ils ont eu ce courage de témoigner… »