Pour beaucoup, il est évident qu’il va y avoir une sorte de nouvelle révolution industrielle qui va laisser beaucoup de monde sur le carreau. Cette automatisation d’un certain nombre d’emplois ne sera refusée par aucun pays si l’intérêt de l’utiliser est évident…
Par exemple, si un jour nous devons choisir entre passer à une caisse avec son lot d’attente et de manipulations et un passage de quelques secondes devant un portique, le choix sera vite fait ! Selon un sondage Ipsos pour BCG Gamma , 50 % des Français et des Allemands redoutent les effets de l’intelligence artificielle sur leur emploi, tout comme 47 % des Américains, 45 % des Britanniques et 38 % des Espagnols.
Contrairement à ce qu’indiquait cet article typique des années 2017-2018 qui voyait Terminator arriver dans les entreprises, l’IA ne sera pas dangereuse avant pas mal de temps pour nos emplois de façon aussi conséquente que l’a été l’arrivée d’Excel dans les services comptables ou celle des tracteurs dans les champs !
L’intelligence artificielle pourrait même nous aider à mieux nous former en étant capable de s’adapter automatiquement à nos capacités de formation personnelle comme l’envisagent les tenants de l’apprentissage adaptatif ou « adaptive learning » fondé sur le machine learning, technique qui permet aux ordinateurs à apprendre sans avoir été programmés.
Une solution pour être sûr de ne pas risquer, qu’un jour, une partie de son activité professionnelle soit remplacée par un module d’IA : se former en permanence et dès que possible !